Nokia invente le tatouage qui vibre à la réception d'un appel<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Consommation
Nokia dépose un brevet de tatouage vibrant
Nokia dépose un brevet de tatouage vibrant
©DR

Geek

La firme finlandaise vient de déposer un brevet aux États-Unis en ce sens.

Après la célèbre sonnerie qui a bercé l'enfance de tout trentenaire aujourd'hui accro aux smartphones qui se respecte, Nokia se lance dans le tatouage vibrant...

La requête déposée au bureau américain des brevets par la société finlandaise précise qu'elle veut commercialiser "un matériau qui se fixe sur la peau, capable de détecter un champ magnétique et de transmettre vers la peau un stimulus perceptible par celui qui le porte". Le tatouage en question serait utilisé comme un tatouage classique, à la différence près qu'il contient de l'encre ferromagnétique, c'est-à-dire sensible aux aimants.

Ce tatouage, conçu pour communiquer avec des smartphones via des ondes magnétiques, pourrait offrir de nombreux débouchés : "Des exemples d'applications pourraient être une indication de batterie faible, un message reçu, un appel reçu, une alerte du calendrier, un changement de profil...", peut-on lire dans la demande qui mentionne par ailleurs que le tatouage pourrait être fixé à différents endroits : bras, zone abdominale ou même doigts. Une innovation qui pourrait s'avérer particulièrement utile dans certains contextes sonores rendant difficile d'entendre un appel par exemple.

Et il sera même possible de personnaliser les vibrations reçues en fonction de la personne qui appelle, ce qui est déjà possible actuellement avec les sonneries. Ainsi, quand quelqu'un vous appelle, un champs magnétique spécifique est transmis, que le tatouage détecte et qui entraine sa vibration selon un certain tempo.

Après ça, si les utilisateurs de Nokia n'ont la technologie dans la peau, c'est à n'y plus rien comprendre.

Lu sur Unwiredview.com

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !