Roger Moore dénonce les mauvais traitements infligés aux orques dans les parcs marins <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Culture
Roger Moore dénonce les mauvais traitements infligés aux orques dans les parcs marins
©Reuters

Pas content

"Il est évident pour toute personne dotée d'un cerveau et d'une once de compassion que les parcs marins ne sont rien de plus que des prisons en béton causant aux animaux marins captifs une souffrance incommensurable", estime l'acteur britannique.

Quelques jours après la mise en ligne sur internet des images de l'orque Morgan, immobile sur une dalle de béton à l'aquarium géant de Tenerife, en Espagne, l'acteur Roger Moore a publié un message d'indignation, invitant les touristes à boycotter les parcs aquatiques : "N'allez pas à Loro Parque ni dans aucun autre parc détenant des orques captives", écrit celui qui a interprété James Bond pendant plusieurs années. 

"Pendant encore combien de temps ces individus incroyablement intelligents et conscients d'eux-mêmes comme Morgan devront-ils souffrir avant que l'on comprenne que les autres espèces ne sont pas sur Terre pour nous divertir? Il est évident pour toute personne dotée d'un cerveau et d'une once de compassion que les parcs marins ne sont rien de plus que des prisons en béton causant aux animaux marins captifs une souffrance incommensurable. Les orques de ces établissements sont forcées à travailler jour après jour, répétant les mêmes tâches indéfiniment, sans en avoir le choix et sans pouvoir s'enfuir. Comme leur vie doit être misérable. Le seul moyen de mettre fin à la maltraitance des orques et des autres animaux captifs est de dénoncer et garder ses distances avec les établissements qui les tiennent en captivité - et je demande à tout le monde de se joindre à moi et d'en faire de même", estime l'acteur.

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !