Bataille d'oreillers géante à Shanghai<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Organisé pour la cinquième fois, cet évènement annuel rencontre un succès tel que les organisateurs ont prévu trois soirées, deux avant noël et une pour le 30 décembre.
Organisé pour la cinquième fois, cet évènement annuel rencontre un succès tel que les organisateurs ont prévu trois soirées, deux avant noël et une pour le 30 décembre.
©Flickr/david_shankbone

Exutoire

Des centaines de chinois se sont défoulés pour se venger de leurs patrons ou professeurs.

Pour évacuer le stress, des centaines de Chinois ont opté pour une méthode radicale : la bataille de polochons ! Réunis à Shanghai, ils se sont servis d’oreillers portant les noms de leurs chefs ou professeurs.

"Parfois, nos patrons, nos enseignants ou les examens nous imposent de fortes pressions. Alors aujourd'hui, on peut se lâcher. Tout le monde peut écrire sur un oreiller le nom de son chef, de son professeur ou la matière d'un examen, et se faire plaisir en se défoulant au maximum, explique Eleven Wang, fondateur du rassemblement. Après avoir libéré le stress, nous pouvons revenir dans la joie à notre vie de tous les jours".

Organisé pour la cinquième fois, cet événement annuel rencontre un succès tel que les organisateurs ont prévu trois soirées, deux avant noël et une pour le 30 décembre. Il est accompagné d’un concert rock, toujours dans l’optique de se défouler et de déstresser.

Certains, très vindicatifs, se révèlent de grands combattants et assaillent tout ce qui bouge, tandis que d’autres tentent tant bien que mal de se protéger. "Je ne sais pas qui m'a poussé, mais tout à coup j'étais dans une pile d'oreillers, où beaucoup de gens m'ont visé. J'ai été battu par toutes sortes de gens", déplorait Zhu Shishan, qui étudie à l'université. Mais tous se sont joyeusement jetés dans la mêlée, avec un plaisir évident.

Lu sur Reuters.com

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !