Neuf avions mobilisés pour transporter en Suisse l'ancien émir du Qatar<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Neuf avions mobilisés pour transporter en Suisse l'ancien émir du Qatar
©DR

Minimum syndical

Le cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani se serait cassé la jambe lors de vacances au ski.

Une sacrée escorte. Alors que la presse avait révélé que plusieurs avions appartenant à la famille royale qatarie avaient atterri en urgence en Suisse samedi dernier, l'émirat a donné une explication ce mardi.

Selon des informations des autorités du Qatar, ce serait l'ancien dirigeant du pays, le cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani, qui a été transporté par gros-porteur après s'être cassé la jambe lors de vacances.

"Samedi 26 décembre, le Père Emir cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani a été transporté en avion à Zurich, en Suisse, pour être traité en urgence après s’être cassé la jambe pendant qu’il était en vacances, a annoncé la famille royale.  Après une opération réussie, son altesse le Père Emir est actuellement en convalescence et en rééducation à Zurich". L’ancien émir (qui a dirigé le pays juqu'en 2013) se serait cassé la jambe alors qu'il prenait des vacances dans une station de ski marocaine, à Ifrane.

Les atterrissages et les décollages de nuit sont généralement interdits à Zurich-Kloten. Mais les autorités suisses ont choisi de faire une exception.

Un porte-parole l'aviation civile suisse avait confirmé que plus d'une demi-douzaine de gros-porteurs avaient en effet atterri en urgence à Zurich, précisant que c'était l'armée de l'air suisse qui avait autorisé l'atterrissage, les bureaux de l'aviation civile étant fermés au moment du problème. Il n'avait cependant donné aucun détail quant aux identités des passagers.

Lu sur The Guardian

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !