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Rihanna, reine du trash
et des charts
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Provoc'

Sexe, drogue, violence : le dernier album de la chanteuse est l'un des plus graveleux des vingt dernières années.

Des seins, des fesses, un zeste de violence, une bonne dose de drogue, et même un meurtre de sang-froid. Voilà la recette du dernier disque de Rihanna "Talk That Talk". Résultat : la jeune chanteuse ne cesse de s'attirer les foudres de la censure. Pour le site vh1, son disque est tout simplement l'album le plus graveleux depuis Erotica de Madonna, sorti en 1992.

Succès garanti pour la chanteuse, puisqu'en général, clip censuré à la télévision est synonyme de buzz sur internet. En France, son nouveau clip, "We Found Love" a été interdit de diffusion à la télévision avant 22 heures. Motif : il présenterait "une relation de couple violente avec prise de drogue, de médicaments, d’alcool et des scènes à caractère suggestif prononcé". Peu importe : sur Youtube, il a été vu plus de 50 millions de fois.

Cette semaine "We Found Love" s’installe d'ailleurs en première place du  "Hot 100", le classement des meilleurs ventes et des morceaux les plus diffusés à la radio Outre-Atlantique.

Dans "Man Down" on voit la chanteuse abattre de sang-froid l’homme qui l’avait violée la veille. Choquées, les associations de parents américaines avaient dénoncé le mauvais exemple donné par la star se faisant justice elle-même. Sous la pression, la scène du meurtre a été coupée. Quant au clip "S & M", il a été interdit dans 11 pays.

Il faut dire la chanteuse joue plutôt la carte du "cash" et du "trash" dans ses paroles : "Du sexe dans l’air, j’aime cette odeur. Les bâtons me brisent les os. Les chaînes et les fouets m’excitent!"  Pas besoin non plus d'explication de texte pour sa chanson "Cockiness", où elle dit à son amant : "Je veux que tu sois mon esclave sexuel". Et la jeune femme de répéter dans le refrain "J'adore quand tu me la manges (sic)".

Lu sur Vh1

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