Honduras : la mythique "Cité perdue du Dieu singe" découverte dans la jungle <!-- --> | Atlantico.fr
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Capture d'écran du site National Geographic
Capture d'écran du site National Geographic
©Capture d'écran site du National Geographic

Aussi fort qu'Indiana Jones

Cette civilisation perdue est recherchée par les archéologues depuis plus de 500 ans.

Qui a dit que l'aventure n'existait plus à notre époque ? Une expédition archéologique a découvert dans la jungle hondurienne les ruines d'une cité perdue, raconte un article du National GeographicSelon toute vraisemblance, il s'agirait de la "Cité Blanche", aussi appelé "Cité du Dieu Singe".

Des noms qui évoquent probablement aux plus aventuriers d'entre vous le meilleur d'Indiana Jones ou de Tomb Raider, les cités cachés et les civilisations perdues. Selon les légendes locales, les populations indigènes trouvaient refuge dans cette cité blanche afin de fuir les invasions espagnoles, et personne n'en revenait jamais.

L'expédition, rentrée mercredi dernier, a mis à jour sur ce site une pyramide de terre, des sculptures qui pourraient avoir été des offrandes, et des monticules. Les ruines avaient pour la première fois été identifiées en mai 2012 par une expédition aérienne. Selon un des archéologues présents sur dans l'expédition, l'aspect inviolé du site est "extrêmement rare".

Contrairement à leurs célèbres voisins Mayas, cette culture a été très peu étudiée, et encore moins médiatisée, note le National Geographic. D'ailleurs, on ne connait même pas son véritable nom. 

Mais la "cité du Dieu singe" hante les rêves des archéologues depuis des siècles. En 1526 déjà, l'aventurier Cortès était sur ses traces. Au milieu du 20 siècle, Thedodore Morde, un archéologue américain prétend l'avoir trouvé à la suite d'une expédition et ramène, pour prouver ses dires, des milliers d'artefacts. Mais il ne donnera jamais les coordonées de sa découverte, et se donnera la mort avant d'y retourner.

Pour des raisons de sécurité, la localisation exacte du site découvert par les archéologues n'a pas été dévoilée.  

Lu sur National Geographic

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