Tourisme spatial : un incroyable projet de parc d'attraction en France<!-- --> | Atlantico.fr
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Cette vision sera-t-elle bientôt à portée de porte-monnaie ?
Cette vision sera-t-elle bientôt à portée de porte-monnaie ?
©Twitter / Alexander Gerst

Rue des étoiles

L'institut européen du tourisme spatial voudrait créer en France un parc d'attraction avec la possibilité de voler en avion de chasse, en apesanteur ou en ballon stratosphérique, à condition d'y mettre le prix.

Après la Cité de l'Espace à Toulouse, pour la théorie, auront nous bientôt un parc d'attraction pour réellement nous envoler dans l'espace ? C'est le souhait de l'Institut européen du tourisme spatial (IETS), présidé par le général Marc Alban, et du représentant de Virgin Galactic en France, Jean-Luc Wibau. Ils ont présenté ce vendredi leur projet devant l'association des journalistes professionnels de l'aéronautique et de l'espace (AJPAE) un projet de parc d'attraction spatial, accompagnés de l'astronaute Jean-François Clervoix, rapporte La Tribune.

Ce parc comprendrait une zone grand public proposant un ensemble d'animations et d'attractions, une zone pour la mise en condition des candidats à l'espace, et une zone opérationnelle (ateliers de maintenance, stockage de carburant...). Il permettrait d'aller faire un tour dans l'espace à bord d'un vaisseau spatial, de s'élever à 30 kilomètres d'altitude dans la nacelle d'un ballon stratosphérique, de découvrir l'apesanteur au cours d'un vol ZERO-G ), ou simplement de monter à bord d'un avion de chasse.

Le prix du billet pour entrer dans le parc serait de 30 euros. Mais il faudrait ensuite mettre la main à la poche : de 1500 euros pour un vol en avion de chasse à 200.000 euros pour celui en vaisseau spatial.

Les promoteurs expliquent qu'ils auraient besoin de 50 à 60 hectares de terrain disponibles près d'un aéroport, face à la mer pour que les vols suborbitaux ne survolent pas les habitations.

Un avant-projet sommaire est prévu pour être finalisé d'ici avant la fin 2015. L'investissement s'élève à 200 millions d'euros et les porteurs du projet cherchent des investisseurs. Ouverture prévue à l'horizon 2018-2019.

Lu dans La Tribune

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