A l'occasion des quarante ans du TGV, la SNCF a pr&eacute;sent&eacute; vendredi 17 septembre une maquette du futur TGV-M, qui devrait &ecirc;tre lanc&eacute; &agrave; l'horizon 2024.
L'accent a &eacute;t&eacute; mis sur l'innovation et l'&eacute;cologie, avec un nez plus a&eacute;rodynamique et un nouveau syst&egrave;me de freinage, qui doivent permettre de r&eacute;duire de 20% la consommation du train. Les rames seront plus r&eacute;sistantes aux chocs, dot&eacute;es d'un nouvel &eacute;clairage, de la 5G, et pourront accueillir plus de passagers que les TGV actuels.

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Découvrez le nouveau TGV présenté par la SNCF

Pour sortir de la crise, un front uni d’entreprises souhaite le retrait du principe de précaution et la levée du secret médical...

Réforme des régimes spéciaux : de la poudre aux yeux 

 Covid-19 : à partir du 29 mars, moins de TGV, suspension des trains de nuit vers le Sud-Ouest

La SNCF propose à ses clients 5 millions de billets à 39€ maximum, pour des voyages jusqu’au 29 août

Le syndicat SUD-Rail appelle les cheminots à ne pas contrôler le pass sanitaire

Jean-Pierre Farandou, le PDG de la SNCF, affirme que "99% des voyageurs contrôlés" ont un passe sanitaire

La grande majorit&eacute; des chefs d&rsquo;entreprise savent d&eacute;sormais exactement ce qu&rsquo;il faudrait faire pour revenir assez rapidement &agrave; une vie normale. Alors, il reste une minorit&eacute; d&rsquo;entreprises qui auront du mal &agrave; survivre aux confinements successifs, des TPE et PME qui se retrouvent asphyxi&eacute;es par manque de tr&eacute;sorerie, des entreprises qui ont &eacute;puis&eacute; les capacit&eacute;s d&rsquo;emprunt type PGE et qui ne pourront pas les rembourser, des entreprises qui ne vont pas se remettre du poids des URSSAF quand les moratoires seront &eacute;puis&eacute;s. Des entreprises que les charges fixes de stocks non &eacute;coul&eacute;s et de loyers vont mettre &agrave; terre... mais aussi des entreprises qui, pour la plupart, &eacute;taient d&eacute;j&agrave; tr&egrave;s malades avant le Covid 19. Tout comme certaines grandes entreprises (la SNCF, Air France, Renault, Airbus) qui vont avoir besoin d&rsquo;un traitement sp&eacute;cifique, allant au-del&agrave; d&rsquo;une simple perfusion de fonds de solidarit&eacute;.
Mais pour plus de 98% des acteurs qui participent &agrave; la fabrication du PIB fran&ccedil;ais et &agrave; l&rsquo;emploi, les choses sont assez claires&nbsp;:
D&rsquo;une part, le &laquo;&nbsp;quoi qu&rsquo;il en co&ucirc;te&nbsp;&raquo; lanc&eacute; au d&eacute;part par l&rsquo;ex&eacute;cutif a permis de prot&eacute;ger les appareils de production et les contrats de travail. Le minist&egrave;re de l&rsquo;Economie, sous l&rsquo;autorit&eacute; de Bruno Le Maire, a fait le job.
D&rsquo;autre part, les chefs d&rsquo;entreprises ont fait preuve d&rsquo;une extraordinaire r&eacute;silience. Ils se sont adapt&eacute;s et en ont profit&eacute; pour acc&eacute;l&eacute;rer les mutations, notamment digitales. Et pour engager des processus de r&eacute;industrialisation. Normalement, l&rsquo;appareil de production de biens et services est en capacit&eacute; de rebondir d&egrave;s que les conditions sanitaires seront redevenues normales.
On ne pourra pas en dire autant de l&rsquo;administration fran&ccedil;aise qui, par sa lenteur, sa lourdeur et la l&acirc;chet&eacute; de beaucoup de ses responsables, a entra&icirc;n&eacute; le pays au bord du gouffre. Alors m&ecirc;me que les moyens financiers existaient gr&acirc;ce &agrave; la Banque centrale europ&eacute;enne, &agrave; la solidarit&eacute; de l&rsquo;UE, et gr&acirc;ce aux &eacute;pargnants fran&ccedil;ais. 
On ne pourra pas en dire autant de la classe politique d&rsquo;opposition ou de la majorit&eacute;, dont le discours est rest&eacute; constamment critique ou insipide. On ne pourra pas en dire autant des principaux syndicats de salari&eacute;s qui sont rest&eacute;s &eacute;trangement discrets et absents, incapables de participer &agrave; la p&eacute;dagogie et &agrave; la proposition de solutions alternatives ou compl&eacute;mentaires.
Maintenant, l&rsquo;ensemble des entreprises, arm&eacute;es de r&eacute;silience, ne forment pas un parti mais une force de redressement consid&eacute;rable. Quand on d&eacute;crypte des propos des dirigeants syndicaux professionnels, du Medef &agrave; la CPME en passant m&ecirc;me par la FNSEA, on est frapp&eacute; par les objectifs tr&egrave;s pragmatiques et professionnels. Pas de corporatisme ou d&rsquo;id&eacute;ologie. Pas de client&eacute;lisme. Une ambition partag&eacute;e de sortir du pi&egrave;ge. 
Alors, ce qui est frappant quand on reprend les discours ou les communiqu&eacute;s des syndicats professionnels ou des grandes entreprises qui ont publi&eacute; leurs r&eacute;sultats, on tombe sur un m&ecirc;me constat&nbsp;: la Covid a r&eacute;v&eacute;l&eacute; l&rsquo;aggravation du &laquo;&nbsp;mal fran&ccedil;ais&nbsp;&raquo;.&nbsp;Ce mal si pernicieux qu&rsquo;avait d&eacute;crit Alain Peyrefitte dans les ann&eacute;es 1970. Rien n&rsquo;a &eacute;t&eacute; r&eacute;gl&eacute;. Au contraire&nbsp;:
Le manque d&rsquo;anticipation de l&rsquo;&Eacute;tat&nbsp;;
Le d&eacute;ficit industriel&nbsp;;
Le poids du mod&egrave;le social&nbsp;;
La faiblesse des contre-pouvoirs&nbsp;;
L&rsquo;ob&eacute;sit&eacute; &eacute;tatique&nbsp;;
Le mille-feuille administratif&nbsp;;
L&rsquo;&eacute;gocentrisme national&nbsp;;
L&rsquo;arrogance et l&rsquo;obsession d&rsquo;imposer un model&eacute; aux autres&nbsp;;
Le laxisme &agrave; l&rsquo;encontre des droits de l&rsquo;Homme. 
Autant de points qu&lsquo;il faudra d&eacute;battre lors d&rsquo;une campagne pr&eacute;sidentielle mais qui d&eacute;forment l&lsquo;&eacute;cosyst&egrave;me o&ugrave; travaillent les entreprises qui ont besoin de sortir de la crise.
Le logiciel de sortie de crise &eacute;tabli par toutes ces entreprises est tr&egrave;s simple.
Acte 1&nbsp;: il faudra forc&eacute;ment un plan de relance sup&eacute;rieur aux 100 milliards d&rsquo;euros pr&eacute;vus. Si on se r&eacute;f&egrave;re &agrave; ce que font les &Eacute;tats-Unis, il faudrait pour la France 3 &agrave; 4 fois l&rsquo;enveloppe pr&eacute;vue.
Acte 2&nbsp;: il faudra d&eacute;finir les leviers de cette relance. Et l&agrave;, de deux choses l&rsquo;une, ou bien l&rsquo;Etat s&rsquo;en charge et &ccedil;a va &ecirc;tre un fiasco. Ou bien il confie aux entreprises la charge de le g&eacute;rer (des projets et des types de moyens de financement).
Acte 3&nbsp;: &ccedil;a ne peut marcher que si et seulement si la confiance revient. Et la confiance ne reviendra que si et seulement si l&rsquo;&eacute;pid&eacute;mie a disparu.
On retombe dans tous les propos et les projets d&rsquo;entreprises sur la question des vaccinations et des protections &agrave; mettre en &oelig;uvre.
Le monde de l&rsquo;entreprise demande donc en permanence l&rsquo;acc&eacute;l&eacute;ration des vaccinations, les entreprises sont d&rsquo;ailleurs pr&ecirc;tes &agrave; les organiser et les prendre en charge &agrave; l&rsquo;int&eacute;rieur de leurs locaux si l&rsquo;&Eacute;tat les y autorise. Ce qui n&rsquo;est pas le cas.
En attendant la g&eacute;n&eacute;ralisation des vaccins, les entreprises sont extr&ecirc;mement nombreuses &agrave; ne pas comprendre qu&rsquo;on ne les laisse pas tester, sous contr&ocirc;le m&eacute;dical bien s&ucirc;r, leurs salari&eacute;s. La technique des tests PCR ou des autotests permet tout. Le digital permet d&rsquo;organiser le tra&ccedil;age des cas positifs et des cas contacts. Si demain, on r&eacute;ussit &agrave; s&eacute;parer les cas positifs et &agrave; les isoler, la cha&icirc;ne de contamination est cass&eacute;e et la vie pourra reprendre normalement dans tous les secteurs, y compris les th&eacute;&acirc;tres les restaurants, les magasins, les stades.
Derni&egrave;re observation, qui ressort de ce tout ce que disent les chefs d&rsquo;entreprises, il faudra sans doute arriver &agrave; lever deux tabous fran&ccedil;ais qui bloquent le progr&egrave;s&nbsp;:
Le premier, c&rsquo;est le principe de pr&eacute;caution institu&eacute; dans la Constitution fran&ccedil;aise par Jacques Chirac pour faire plaisir aux &eacute;colos. Ce principe a tu&eacute; la notion de risque, qui est un facteur de progr&egrave;s consid&eacute;rable. Compte tenu de ce principe de pr&eacute;caution, le ministre comme le maire, le fonctionnaire ou le dernier des administratifs sont paralys&eacute;s. Ils ont peur du risque que leurs d&eacute;cisions entra&icirc;neraient. Donc ils bloquent tout et nous sommes d&eacute;sormais en retard sur tous les grands pays occidentaux.
Le deuxi&egrave;me tabou, c&rsquo;est sans doute le secret m&eacute;dical et le principe sacro-saint de la protection des donn&eacute;es personnelles. On ne peut pas en France interdire &agrave; un malade de contaminer son voisin, parce que son voisin n&rsquo;a pas &agrave; savoir que vous &ecirc;tes malade. La France, dans sa grandeur et sa na&iuml;vet&eacute;, compte sur la responsabilit&eacute; individuelle. L&rsquo;exp&eacute;rience des grandes maladies, &agrave; commencer par celle du SIDA ou du Covid, nous montre qu&rsquo;on ne peut pas se fier au comportement individuel. Il faut donc tester et tracer et isoler les cas positifs pour &ecirc;tre s&ucirc;r qu'ils ne viendront pas contaminer le reste du troupeau. Certaines entreprises (transport a&eacute;rien) se sont organis&eacute;es. Certains pays contr&ocirc;lent et surveillent (Isra&euml;l, Singapour, Cor&eacute;e, Ta&iuml;wan, Canada). Ces pays sont encore des d&eacute;mocraties, mais en tra&ccedil;ant et en isolant ils contr&ocirc;lent l&rsquo;&eacute;pid&eacute;mie.
Ces mesures, qui reviennent, c&rsquo;est vrai, &agrave; trahir un secret m&eacute;dical, sont liberticides, mais elles le sont pour prot&eacute;ger l&rsquo;ensemble de la population.

Atlantico Business

Pour sortir de la crise, un front uni d’entreprises souhaite le retrait du principe de précaution et la levée du secret médical... jean-marc sylvestre

<h3>Atlantico : <a href="https://www.lesechos.fr/economie-france/social/retraite-pourquoi-macron-veut-reformer-les-regimes-speciaux-et-la-pension-minimum-1343599" target="_blank" rel="noopener">Selon Les Echos</a>, Emmanuel Macron envisage de supprimer la quarantaine de &laquo; r&eacute;gimes sp&eacute;ciaux &raquo; qui demeurent, et &agrave; instaurer parall&egrave;lement une pension minimale de 1000 euros. Cette r&eacute;forme des retraites a minima pourrait-elle avoir un vrai int&eacute;r&ecirc;t ?</h3>
Philippe Crevel : C&rsquo;est &eacute;videmment plus un acte de communication que fait pour agir dans le champ budg&eacute;taire et financier. Communication d&rsquo;abord en interne, puisqu&rsquo;il montre qu&rsquo;il continue &agrave; r&eacute;former tout en faisant plaisir &agrave; son &eacute;lectorat traditionnel. C&rsquo;est aussi un message politique ext&eacute;rieur, au niveau europ&eacute;en. Il y a un d&eacute;but de d&eacute;bat sur les d&eacute;ficits publics et la France est l&rsquo;un des mauvais &eacute;l&egrave;ves. Juste avant que la France prenne la pr&eacute;sidence tournante de l&rsquo;Union europ&eacute;enne, c&rsquo;est une mani&egrave;re d&rsquo;essayer d&rsquo;&eacute;viter d&rsquo;&ecirc;tre la cible de ses partenaires en montrant un volontarisme sur les finances publiques.
Ensuite, ce qu&rsquo;on imagine que le pr&eacute;sident puisse faire, au mieux, est de dire que tous les nouveaux entrants dans les r&eacute;gimes sp&eacute;ciaux ne seraient pas concern&eacute;s. Cela signifie qu&rsquo;il faudrait 40 ans pour faire la r&eacute;forme. C&rsquo;est &eacute;vident que &ccedil;a ne rapportera pas grand-chose dans un premier temps. Il s&rsquo;agirait plut&ocirc;t d&rsquo;une d&eacute;cision de l&rsquo;ordre de la symbolique.
<h3>Est-ce simple de mettre fin aux r&eacute;gimes sp&eacute;ciaux&nbsp;?</h3>
&Ccedil;a parait tr&egrave;s compliqu&eacute;, surtout &agrave; quelques mois de l&rsquo;&eacute;lection pr&eacute;sidentielle. La population concern&eacute;e pourrait se mobiliser tr&egrave;s rapidement et sait que le gouvernement ne peut pas se payer le luxe d&rsquo;un blocage de la SNCF et de la RATP pendant trois mois en pleine reprise &eacute;conomique. Emmanuel Macron est actuellement favori de la pr&eacute;sidentielle, il prend un risque de se tirer une balle dans le pied en cas de d&eacute;rapage.
Il faut toutefois rappeler que la fin des r&eacute;gimes sp&eacute;ciaux de la SNCF a &eacute;t&eacute; act&eacute;e par la loi de r&eacute;forme de l&rsquo;entreprise. C&rsquo;est une sortie progressive qui a &eacute;t&eacute; vot&eacute;e. La m&eacute;thode sera celle-ci, sauf &agrave; risquer un conflit social dur, ce qui n&rsquo;est pas souhaitable &agrave; l&rsquo;approche de la pr&eacute;sidentielle.
<h3>A moins d&rsquo;un an de l&rsquo;&eacute;lection pr&eacute;sidentielle, le chef de l'&Eacute;tat a-t-il le cr&eacute;dit pour r&eacute;former, par d&eacute;cret comme il l&rsquo;entend&nbsp;?</h3>
Le fait de passer par d&eacute;cret pourrait &ecirc;tre per&ccedil;u comme autoritaire et lui &ecirc;tre reproch&eacute;. Mener cette r&eacute;forme serait pour lui une fa&ccedil;on de se marquer &agrave; droite en rappelant que, comme il l&rsquo;avait promis, il met fin aux r&eacute;gimes sp&eacute;ciaux. Cette mesure est plut&ocirc;t populaire dans l&rsquo;&eacute;lectorat de droite o&ugrave; il trouve une majorit&eacute; de ses soutiens. Il couperait donc l&rsquo;herbe sous le pied des candidats de la droite.
D&rsquo;ailleurs, la proposition de Fran&ccedil;ois Bayrou de refaire un nouveau parti politique agglom&eacute;rant le centre et La R&eacute;publique en marche accentue cette id&eacute;e d&rsquo;une recomposition sur le centre droit, un peu &agrave; l&rsquo;image de ce qu&rsquo;avait fait Chirac avec l&rsquo;UMP. Le risque est que les syndicats d&eacute;cident la gr&egrave;ve et qu&rsquo;il y ait un pourrissement de la situation sociale &agrave; l&rsquo;automne. Emmanuel Macron est entr&eacute; en campagne et je ne pense pas qu&rsquo;il ira jusqu&rsquo;au bout.
<h3>La pension minimale 1000 euros est-elle une mani&egrave;re de contrebalancer sa proposition&nbsp;?</h3>
La promesse a &eacute;t&eacute; faite d&egrave;s le d&eacute;but de la discussion concernant la r&eacute;forme des retraites, dans le projet Delevoye. A mon sens, cela fait partie de sa feuille de route pour la pr&eacute;sidentielle, c&rsquo;est une mesure &eacute;lectorale forte. La question est de savoir comment on finance ces 1000 euros, comment on trouve les ressources&nbsp;? Th&eacute;oriquement, la fin des r&eacute;gimes sp&eacute;ciaux pourrait le financer. Mais comme on n&rsquo;imagine pas une fin brutale des r&eacute;gimes sp&eacute;ciaux, cela ressemble plut&ocirc;t &agrave; un jeu de dupes.

Retraites

Réforme des régimes spéciaux : de la poudre aux yeux retraites Emmanuel Macron France Philippe Crevel

Depuis le d&eacute;but de l&rsquo;ann&eacute;e, ce sont en moyenne 3 TGV sur 4 qui sont en circulation, avec une baisse de fr&eacute;quentation d&rsquo;environ 50% par rapport &agrave; la normale.
Suite aux annonces du 18 mars, SNCF Voyageurs constate un niveau de r&eacute;servations dans les trains de longue distance pour le mois d&rsquo;avril &agrave; ce stade en recul de 65% par rapport &agrave; ce qui &eacute;tait observ&eacute; en 2019 &agrave; la m&ecirc;me p&eacute;riode.
Aussi, &agrave; compter de lundi 29 mars, le plan de transport TGV (TGV INOUI, OUIGO) sera adapt&eacute; annonce la SNCF.
Sur OUIGO, l&rsquo;offre sera de 4 TGV sur 10.
Sur l&rsquo;axe Atlantique, l&rsquo;offre sera de 5 &agrave; 6 TGV sur 10 en semaine, avec un renfort les weekends et vacances scolaires. - Sur l&rsquo;axe Nord, dont l&rsquo;ensemble des d&eacute;partements desservis fait l&rsquo;objet des nouvelles mesures sanitaires, l&rsquo;offre sera de 3 TGV sur 10, avec sur Paris-Lille 4 TGV sur 10.

Transport

Pour accompagner les envies de voyages des Fran&ccedil;ais, SNCF propose du 3 au 19 mai, 5 millions de billets &agrave; 39 euros maximum, soit 1 place sur 4, pour partir d&egrave;s maintenant et jusqu&rsquo;au 29 ao&ucirc;t annonce un communiqu&eacute; de la SNCF.
Cette offre est valable sur un billet en seconde classe, sur un trajet sans correspondance pr&eacute;cise la compagnie.
La SNCF a une offre sp&eacute;ciale vers la Bretagne : D&egrave;s le 4 mai, les voyageurs peuvent r&eacute;server un billet, pour des circulations du 3 juillet au 29 ao&ucirc;t. Plus de 40 000 billets sont disponibles &agrave; partir de 19 euros pour les vacances d&rsquo;&eacute;t&eacute; sur ces nouvelles destinations et au prix fixe de 5 euros pour les enfants.
Par ailleurs Voyages SNCF rend tous les billets, pour des voyages du 10 mai au 29 ao&ucirc;t 2021 inclus, &eacute;changeables et remboursables sans frais jusqu&rsquo;&agrave; 3 jours inclus avant la date de d&eacute;part.

Vacances

SUD-Rail a appel&eacute; ce lundi 26 juillet les cheminots &laquo;&nbsp;&agrave; ne pas r&eacute;aliser de contr&ocirc;le sur les pass sanitaires&nbsp;&raquo;, qui deviendront n&eacute;cessaires &agrave; partir d'ao&ucirc;t pour voyager &agrave; bord des TGV, trains Intercit&eacute;s et trains internationaux au d&eacute;part de la France.
Le syndicat demande aux agents de la SNCF de n'effectuer que &laquo;&nbsp;leurs seules missions de s&eacute;curit&eacute; et de contr&ocirc;le des titres de transport&nbsp;&raquo;, selon un communiqu&eacute;.
L'organisation syndicale se dit aussi pr&ecirc;te &agrave; appeler &agrave; la gr&egrave;ve si le gouvernement confirme l'application de sanctions pour les salari&eacute;s de la SNCF non munis de pass sanitaire.
S'il est pour &laquo;&nbsp;la vaccination g&eacute;n&eacute;rale &agrave; l'&eacute;chelle mondiale&nbsp;&raquo;, le &laquo;&nbsp;meilleur moyen de stopper la pand&eacute;mie&nbsp;&raquo;, SUD-Rail &laquo;&nbsp;refuse la contrainte et l'atteinte aux libert&eacute;s&nbsp;&raquo; et &laquo;&nbsp;se positionne contre le pass sanitaire&nbsp;&raquo;, qu'il juge &laquo;&nbsp;antisocial&nbsp;&raquo; et &laquo;&nbsp;discriminatoire&nbsp;&raquo;.
Le projet de loi sanitaire, adopt&eacute; d&eacute;finitivement dimanche par le Parlement, pr&eacute;voit notamment l'extension du pass sanitaire (test Covid n&eacute;gatif, attestation de vaccination ou certificat de r&eacute;tablissement) aux passagers des trains longs trajets, ainsi qu'aux salari&eacute;s exer&ccedil;ant leur activit&eacute; &agrave; bord. Un salari&eacute; sans justificatif &agrave; compter du 30 ao&ucirc;t pourra &ecirc;tre suspendu.

Période estivale

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<div>Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF, &eacute;tait l'invit&eacute; de la matinale de RMC et BFMTV ce vendredi 17 septembre. Il a notamment &eacute;t&eacute; interrog&eacute; par Jean-Jacques Bourdin sur l'efficacit&eacute; des contr&ocirc;les du passe sanitaire dans les trains.&nbsp;</div>
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<div>&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">Jean-Pierre Farandou a confirm&eacute; que des millions de personnes ont d&eacute;j&agrave; &eacute;t&eacute; contr&ocirc;l&eacute;es. Il a pr&eacute;cis&eacute;&nbsp;que "99% des voyageurs contr&ocirc;l&eacute;s" ont un passe sanitaire.</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">&nbsp;</div>
<div dir="ltr" data-setdir="false">Lors de cet entretien sur BFMTV et RMC, le PDG de la SNCF a aussi annonc&eacute; une prochaine r&eacute;duction des effectifs, entre 1,5 et 2% (soit entre 2000 et 3000 postes supprim&eacute;s).</div>

Efficacité du dispositif

Jean-Pierre Farandou, le PDG de la SNCF, affirme que "99% des voyageurs contrôlés" ont un passe sanitaire voyage covid-19

Aérodynamique et écologique

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