Le maire socialiste de Montpellier s’attaque à l’insécurité et aux dérives communautaires<!-- --> | Atlantico.fr
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Michaël Delafosse
Michaël Delafosse
©Capture d'écran Montpellier Méditerranée Métropole

Atypique

Michaël Delafosse élu à la mairie de Montpellier, puis à la tête de la métropole, il y a un an

À pied, à vélo le plus souvent, le professeur d’histoire-géo - il a gardé quelques heures d’enseignement en collège - parcourt sa ville «à portée d’engueulades». Et passe du temps à écouter les doléances d’une population lasse de la délinquance croissante, inquiète des incivilités quotidiennes. «Ce n’est pas celui qui transgresse qui fait la loi. Il y a des règles, on les respecte.» plaide Michaël Delafosse maire de Montpellier, cité par Le Figaro.

«Nous avons trouvé une situation dégradée. Le lendemain de mon élection, le préfet m’a appelé pour me décrire l’urgence. Montpellier était devenue la 13e ville la moins sûre d’Europe. Mon prédécesseur pensait que le sujet ne relevait pas de ses compétences mais de celles de l’État. C’est faux. La sécurité est un sujet local. Le maire doit chaque jour réaffirmer l’autorité républicaine, l’incarner. Il est responsable du maintien de l’ordre. Il est là pour protéger sa population. Le discours de l’autruche, c’est fini.» explique le maire de Montpellier.

«Les premières victimes de l’insécurité, ce sont toujours les plus faibles. La sécurité, c’est 50 % de mon temps», ajoute Michaël Delafosse

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