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La Grèce prend la présidence de l'Union européenne
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A mon tour !

Le pays a dégagé un premier excédent primaire dans ses comptes publics en 2013, après six années de récession.

Au tour de la Grèce. Ce 1er janvier 2014 marque le début de la présidence grecque de l'Union européenne. Le pays assure la succession de la Lituanie et cédera la place en juillet prochain à l'Italie. Cette prise de fonction s'accompagne de l'annonce de quatre priorités : relance de la croissance, finalisation de l'Union bancaire, harmonisation d'une politique européenne sur l'immigration et développement de la politique maritime. Des projets qui risquent d'être légèrement bousculés par la tenue des élections européennes, en juin prochain.

Si la Grèce a dégagé un premier excédent primaire dans ses comptes publics en 2013, elle peine toutefois à sortir de six années consécutives de récession. Si l'on ajoute à cela l'incapacité des différents partenaires à s'accorder sur les mesures d'austérité à adopter pour redresser le pays, la Grèce fait toujours figure de maillon branlant dans la chaîne européenne.

Le ministre adjoint aux Affaires européennes, Dimitris Kourkoulas, est toutefois persuadé que cette présidence va faire du bien à son pays. "L'image de la Grèce s'est déjà améliorée, explique-t-il dans un entretien à RFI. Une telle réduction du déficit budgétaire, c'est du jamais-vu dans un pays développé, en un temps si court et en période de récession. De plus, plus personne ne parle de sortie de la Grèce de la zone euro ! On a fait beaucoup de progrès en deux ans, et la présidence européenne va nous aider à rendre cette image encore plus positive".

Lu sur RFI

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