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Et si Alain Juppé avait finalement tout à perdre de la primaire ouverte de 2016…
©Reuters

Calculs électoraux

En détaillant son sondage Ipsos, le Point souligne que les soutiens d'Alain Juppé seront bien moins nombreux que prévus.

Après avoir longtemps hésité, Nicolas Sarkozy a finalement cédé. Une primaire ouverte à droite et au centre sera organisée en 2016 pour désigner le candidat à la présidentielle. Soutenu par l'UMP, l'ancien chef d'Etat trouve peu d'appuis au Modem et à l'UDI qui plébiscitent largement Alain Juppé.

Ainsi, dans un sondage Ipsos commandé pour le Point, les deux candidats arrivaient tous les deux à égalité avec 38% des voix au premier tour, devant François Fillon, Bruno Le Maire ou encore Xavier Bertrand. Au second tour, c'est le maire de Bordeaux qui l'emportait.

Mais à bien y regarder, cette primaire ouverte pourrait finalement basculer pour le président de l'UMP puisque n'importe quel Français, dont ceux du Front national pourrait voter. Ainsi, en ne tenant compte que des "7% des Français sûrs de voter à cette primaire," la plupart (55%) se reporteront vers Nicolas Sarkozy contre seulement 26% pour Alain Juppé dès le premier tour. Et le second tour serait sans appel : 64% pour l'ancien chef de l'Etat contre 36 % pour son rival. Ainsi, en ouvrant grand les vannes, Nicolas Sarkozy pourrait bien se sortir du piège de la primaire.

Lu sur Le Point

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