Bernard Cazeneuve annonce avoir entamé des démarches pour la "dissolution" de mosquées radicales<!-- --> | Atlantico.fr
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Bernard Cazeneuve au 20h de France 2, le 15 novembre.
Bernard Cazeneuve au 20h de France 2, le 15 novembre.
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Déclaration

Le ministre de l'Intérieur était l'invité du 20h de France 2, dimanche soir. Il a dénoncé "des actes de guerre commandités par des barbares à partir de la Syrie".

Le ministre de l'Intérieur, sur France 2, a souligné la "mobilisation de l'ensemble des services de police" pour la traque d'un "homme activement recherché". Il y aura "peut-être" un 8e terroriste, en plus des sept dont on sait déjà qu'ils ont participé aux attaques, a-t-il dit.

Le ministre a fait le point sur l'enquête, expliquant que les commanditaires sont'" un groupe situé en Syrie dont nous avons une idée précise (...) qui commande des attentats et les incite à agir sur le territoire français" et "qui mobilisent des filières pour la plupart d’entre elles situées en Belgique". 

"Nous n'avons cessé de dire quel était le niveau de la menace", a-t-il insisté. D'ailleurs, l'"augmentation des moyens alloués aux services" et les " nouvelles dispositions législatives" mises en oeuvre "permettent de faire face à de nombreuses situations".

Concrètement, il a annoncé que "34 dossiers d'expulsion sont en cours d'instruction pour les prêcheurs de haine". Il a affirmé avoir entamé des démarches pour la "dissolution de mosquées dans lesquelles des acteurs appellent ou profèrent la haine".

"Je n'ai pas attendu l'état d'urgence pour m'attaquer aux prêcheurs de haine mais l'état d'urgence doit nous permettre d'être plus rapide". "L'état d'urgence nous donne des moyens: assignations à résidence, perquisitions. Le risque zéro n'existe pas. le gouvernement est déterminé à gagner cette guerre, il la gagnera. Cette guerre sera gagnée par la République française".

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