<a class="Colorbox" href="http://www.peplum.com" target="_blank">Pour en savoir plus sur l&rsquo;Europe centrale, rendez-vous sur le site de Peplum. </a>Le Danube. Un fleuve aux bras si longs qu&#39;ils embrassent un large pan de l&#39;Europe. Associé à des capitales centrales, de Vienne à Bucarest, en passant par Budapest ou Bratislava, il se prête à de nombreuses croisières. Parmi les meilleurs parcours :traverser huit pays à bord d&rsquo;un yacht privé.L&#39;Allemagne, l&#39;Autriche, la Slovaquie, la Hongrie, la Croatie, la Serbie, la Bulgarie et enfin la Roumanie. Un parcours subtilement dosé alliant découvertes historiques et culturelles. Sans compter les paysages européens qui se dessinent dans les hublots du navire de luxe.<img alt="" height="359" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/07/croisiere-danube-1.jpg" width="479" />Légère tricherie&nbsp;: à Munich, on arrive en avion. Impossible de passer à côté. Visite-éclaire de la capitale de la Bavière, donc, depuis l&rsquo;hôtel de ville et ses rues adjacentes, jusqu&#39;à la cathédrale et la célèbre rue Maximilien. Départ en hélico, direction Passau, où est amarré le bateau. Embarquement dans la nuit noire allemande pour mettre le cap sur Linz, première étape de cette croisière grand luxe.<img alt="" height="319" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/07/croisiere-danube-2.jpg" width="482" />Lever aux aurores, pour pouvoir profiter de la troisième ville la plus peuplée d&#39;Autriche. L&rsquo;occasion pour le guide privé de proposer une première sortie dans les ruelles de Linz et de Salzbourg. Le marathon continue le lendemain, à Melk, dont l&#39;abbaye offre un panorama renversant sur le sud autrichien et le Danube qui, vu de haut, change assurément de profil. C&#39;est avec une avidité croissante que l&#39;on se rend ensuite au village viticole de Durnstein, une bourgade médiévale, dominée par les ruines d&#39;une forteresse où le roi Richard Cœur de Lion fut emprisonné pendant deux ans. Au cœur du village, l&#39;abbaye des Augustins et son clocher bleu-ciel, symbole de raffinement et de richesse. Un tremplin instructif avant Vienne, que l&#39;on rejoint par la région escarpée de Wachau.&nbsp;<img alt="" height="374" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/07/croisiere-danube-3.jpg" width="482" />Départ pour une visite guidée de la capitale autrichienne, après un petit déjeuner copieux. Le guide revient sur les traits caractéristiques des principaux monuments de la ville. Incontournable, par exemple, le quartier du Ring (le centre, NDLR) qu&#39;occupent l&rsquo;Opéra et la Hofburg, ainsi que la cathédrale Saint-Etienne. Quelle surprise d&#39;en voir quelques uns partir pour Schönbrunn, le &laquo;&nbsp;Versailles viennois&nbsp;&raquo;, alors qu&#39;il reste tant de sites centraux à parcourir. En prime, après le dîner, un concert de musique classique viennoise. C&#39;est tout de même mieux que d&#39;acheter des chocolats, entre autres friandises à l&#39;effigie de Mozart.<img alt="" height="318" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/07/croisiere-danube-4.jpg" width="481" />Vient Bratislava, capitale de la Slovaquie, où l&#39;on s&#39;accorde un peu de temps libre. Rien de tel qu&#39;errer à tâtons à travers une cité inconnue. Les moins aventuriers ont toutefois la possibilité de se raccrocher à une visite guidée du Château de Cerveny Kamen.De même plus tard, aux promenades individuelles côté Buda, à travers le Bastion des pêcheurs ; et côté Pest, dans l&rsquo;Opéra et sur la place des Héros.<img alt="" height="362" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/07/croisiere-danube-5.jpg" width="483" />Sur la rive ouest du Danube repose Mohacs, siège de plusieurs batailles. Le <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/29_août">29 août</a> 1526, l&#39;armée ottomane de <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Soliman_le_Magnifique">Soliman le Magnifique</a> y écrase les Hongrois. En 1687, c&#39;est au tour des Turcs d&#39;affronter les armées de l&#39;empereur germanique. Fort de ces informations historiques, on retourne à bord, se reposer, enfin, avant d&#39;appréhender la Serbie. Et pour cause, la découverte de Belgrade, le lendemain, commence sur les chapeaux de roues. Au programme&nbsp;: la forteresse de Kalemegdan, la place de la République, la rue Knez Mihajlova, ou encore la cathédrale Saint Sava. Heureusement, l&rsquo;intensité des visites trouve son pendant dans la quiétude du yacht de luxe.<img alt="" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/07/croisiere-danube-6.jpg" style="width: 480px; height: 360px;" />Passée la forteresse de Smederevo, on emprunte le &laquo;&nbsp;défilé des Portes de Fer&nbsp;&raquo;, la source de diverses métamorphoses. C&#39;est incroyable de voir à quel point le fleuve se rétrécit entre les montagnes, formant ainsi des gorges à couper le souffle. A Djerdap, en revanche, celui-ci se voit entravé par un immense barrage hydroélectrique marquant la frontière avec la Roumanie, dernier pays au programme de cette traversée exceptionnelle.<img alt="" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/07/croisiere-danube-6_0.jpg" style="width: 480px; height: 360px;" />Mais avant cela, une dernière immersion dans la ville de Sofia, capitale bulgare située à 590&nbsp;mètres d&#39;altitude au pied du mont Vitocha. Centre économique et culturel important en Europe centrale, c&#39;est la quatrième ville la plus grande des Balkans après Istanbul, Athènes, et Bucarest&nbsp;; et un centre universitaire dynamique depuis 1888. D&#39;où le tour de Université Saint-Clément d&#39;Ohrid, le campus les plus prestigieux du pays.<img alt="" height="277" src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/atlantico.fr/files/u39253/2014/07/croisiere-danube-7.jpg" width="486" />Dernière escale&nbsp;: Bucarest. Le fleuve ne traverse pas la ville, que l&rsquo;on rejoint alors en voiture privée. Mentionnée pour la première fois en <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1459">1459</a> en tant que marché fortifié au carrefour de routes commerciales, la capitale de la Roumanie devrait son nom au berger Bucur(-en), le premier individu ayant jamais habité les lieux. En outre, bucur signifie joie, en roumain. D&#39;où le toponyme littéraire qui en découle, &laquo;&nbsp;la ville de la joie&nbsp;&raquo;. Détour-express par la place de la Révolution, la place de l&rsquo;Université, l&rsquo;Arc de triomphe, et le Palais de &laquo;&nbsp;Ceaucescu&nbsp;&raquo;. De là, deux choix&nbsp;: regagner l&rsquo;aéroport pour rentrer, ou finir de remonter le Danube vers la mer Noire et poursuivre son voyage vers Istanbul et la Turquie.&nbsp;&nbsp;

Croisière exceptionnelle sur le Danube

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<h3 class="s2" style="text-align: center;" align="center">La Hongrie, nouveau berceau de l’oenotourisme</h3>Pour en savoir plus sur la Hongrie, rendez-vous sur <a href="http://www.peplum.com/">le site de Peplum.com</a>.Bordeaux, Bourgogne, Saint-Émilion, Châblis, Médoc... Les Français ont parfois du mal à sortir de leurs terroirs viticoles. Et pourtant, la Hongrie est un territoire viticole à découvrir, notamment pour son fameux Tokaj, un blanc liquoreux de renommée internationale. Qui l'eût cru&nbsp;? Les vignobles hongrois occupent près de 140 000 hectares du pays. En route pour Budapest&nbsp;! C'est l'heure de trinquer.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/oenotourisme_hongrie1.jpg" alt="" width="480" height="360">Toujours penser à la santé de qui l'on boit&nbsp;! À Budapest, ils sont nombreux les viticulteurs qui méritent un toast. Toutefois, une cave se distingue parmi les meilleures. À deux pas du Château royal, The Faust Wine Cellar propose les plus grands crus du pays. Dans cet établissement, déguster n'est pas uniquement goûter un vin. C'est une expérience qui procède en plusieurs étapes, dont certaines ne concernent en rien les papilles gustatives.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/oenotourisme_hongrie2.png" alt="" width="481" height="364">La devanture ne paie pas de mine, ou bien si, au contraire, puisqu'y figure en gras le nom de l'hôtel Hilton. C'est en effet dans les tréfonds de ce cinq étoiles que se cache l'une des caves les plus recherchées de Budapest. Passés le portillon doré, les escaliers en marbre et tutti cuanti, 54 marches s'offrent aux intéressés. Quel contraste&nbsp;! On sort du luxe pour plonger dans le vrai, l'authentique. Ne dit-on pas in vino veritas&nbsp;? Certes, mais pour atteindre à ce vino, il faut franchir deux ou trois grilles s'inscrivant parfaitement dans l'ensemble du décor. Et ce décor quel est-il&nbsp;? Celui d'un cloître dominicain sous-terrain dont les lumières tamisées et les murs en pierre humides de charme sont déjà une invitation aux plaisirs de la dégustation.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/oenotourisme_hongrie3.png" alt="" width="481" height="360">À la carte, des Eger, Badacsony, Sopron, Mór, Pannonhalma, Szekszárd, Somló, Tolkaj, Villány... Autant de cépages dont le nom résonne comme un vague écho d'exotisme. On est loin des régions françaises, aux sonorités si familières. Fondée en 2009, The Faust Wine Cellar est volontairement enfoui dans les profondeurs de la terre, coupé du bruit de la rue et des voitures, afin de créer une plus grande intimité entre le goûteur et les produits goûtés. Si l'on peut y débouler à l'improviste et ouvrir une bouteille dans la foulée, il est vivement recommandé de réserver une table à l'avance afin d'éviter&nbsp; les heures et les journées à forte affluence. Santé&nbsp;! Ou egészségére, pour ceux qui parlent hongrois.<h3 class="Standard s2" style="text-align: center;" align="center">Le St. George Residence Boutique Hotel, l'ancêtre de Budapest</h3>Pour en savoir plus sur la Hongrie, rendez-vous sur <a href="http://www.peplum.com/">le site de Peplum.com</a>.Entre Buda et Georges on ne sait plus à quel saint se vouer. Buda, c'est l'une des trois villes fédérées au XIXe siècle en l'actuelle capitale de la Hongrie&nbsp;; Saint-Georges, le chevalier qui terrasse un dragon. Mais que vient faire ce personnage à Budapest&nbsp;? Rien de spécial, à part prêter son nom au bâtiment d'hôtel le plus vieux de la ville. Un rapprochement pas si incongru quand on sait que La légende dorée, qui rapporte les exploits de cet illustre héros, date du Moyen-Âge. Or c'est à la même époque que les murs du St. George Residence Boutique Hotel ont été érigés, il y a près de 700 ans. La boucle est bouclée. Il ne reste plus qu'à partir.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/st_georges_hotel_budapest4.png" alt="" width="481" height="307">Quelle est la première chose que l'on fait quand on franchit le seuil d'un hôtel&nbsp;? Se présenter à la réception, soit&nbsp;; mais après&nbsp;? Visiter sa chambre tantôt pour vérifier qu'elle correspond aux critères de réservation, tantôt pour se reposer avant de s'en aller en excursion. Le deuxième cas s'applique au St. George Residence Boutique Hotel. Né en 1785 de l'union de trois habitations médiévales, cet hôtel cinq étoiles représente une véritable expérience en soi. Un voyage dans le temps exceptionnel. En effet, ce n'est pas tous les jours que l'on peut dormir dans un décor baroque&nbsp;; brancher son chargeur dans un mur de pierre, marcher pieds-nus sur des tommettes écarlates, ou bien une moquette en velours bordeaux, ranger ses chemises dans une commode de style empire, compter les poutres au plafond, contempler son reflet au cœur d'un cadre doré... Au-delà des 26 appartements, une taverne médiévale où de grands chefs concoctent régulièrement des plats tantôt seigneuriaux, tantôt contemporains. Et au-delà de la nourriture, une ville pleine de culture.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/st_georges_hotel_budapest5.jpg" alt="" width="479" height="320">&nbsp; Une fois reposé et repu, que fait-on généralement&nbsp;? On se lance à la découverte des environs. À raison, puisque Budapest regorge de surprises. Un véritable labyrinthe de 1 200 mètres de long s'étire, par exemple, dans les souterrains du Palais de Budavár. S'étirait, en vérité. Fermé pour une durée indéterminée, cet espace historique aux lumières tamisées créait une atmosphère moyenâgeuse assortie à l'architecture de l'hôtel et, a fortiori, au centre de Budapest. Trônant à l'angle des rues Fortuna, la Résidence St. George occupe ce que les guides appellent le «&nbsp;quartier du château&nbsp;», inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco. Noyé dans un essaim de boutiques et de restaurants, ce secteur abrite des monuments tels que le Bastion des Pêcheurs, avec sa vue imprenable sur la ville, ou l'Église Mathias, alias Notre-Dame, transformée en étable à chevaux lors de l'invasion de Turcs en Hongrie au XVIe siècle.<img src="http://static.v3.atlantico.fr/sites/default/files/staging/import/ufile/sites/default/files/st_georges_hotel_budapest6.jpg" alt="" width="481" height="319">Peste de soit de Buda&nbsp;! De même que le cœur bat à gauche de la poitrine&nbsp;; de même ce quartier anime l'ouest de la capitale hongroise, volant souvent la vedette à sa moitié orientale. Pourtant, qui dit mondialisation ne dit pas nécessairement compétition. Séparé par le Danube, Buda et Pest se complètent sans jamais se détester.

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Croisière exceptionnelle sur le Danube

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La Hongrie, terre de vignobles et d’histoire