Atlanti-culture
"Les délices de Tokyo" : un livre incroyablement riche en émotion
Laissez-vous délicieusement dépayser par le roman de Durian Sukegawa, "Les délices de Tokyo". Un livre aussi profond qu'aérien.
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Devos, génial artificier des mots
Dans "Les fous ne sont plus ce qu'ils étaient" avec Elliot Jenicot, seul sur scène, la Comédie Française rend un formidable hommage à Raymond Devos et à sa logique jubilatoire de l'absurde.
Le livre du jour
"Tilleul" de Hélène Lenoir : lent, recherché, et parfois pesant
La famille. Celle-ci se compose d’un frère ainé, Gilles, perturbé, un peu fou, un peu alcoolique, très obsessionnel. D’une soeur, Sophie, qui s’ennuie terriblement près de lui. Et de Carole, sa fille adolescente, qui décide de partir en pensionnat du jour au lendemain, fuite sans appel.
Le livre du jour
"Alors vous ne serez plus jamais triste", de Baptiste Beaulieu : un changement d'univers pas très réussi
Il s’agit d’un compte /conte à rebours et c’est d’ailleurs pour cela que les pages sont numérotées en ordre décroissant. Celui d’un médecin chirurgien pédiatrique, décidé à en finir avec sa vie, vide de sens depuis qu’il a perdu sa femme.
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Proust, l'envers du décor
Si le témoignage de la gouvernante et confidente de Marcel Proust n’est pas très objectif, on reste abasourdi et ému de tant de dévotion.
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"Mailman", de J.Robert Lennon : un roman pour accepter d'être dérangé
Albert a absolument tout raté dans sa vie. Sauf justement son ratage qu’il a magistralement réussi. D’aucuns diront que c’est déjà ça... mais on referme le livre dérangé et désolé car, même si heureusement il y a des pointes d’humour, notre Mailman est tellement bousculé par la vie qu’il nous laisse, à la fin, complètement dépité.
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Einstein, vous connaissez ?
Très bien documenté, le roman de Laurent Seksik "Le cas Eduard Einstein" (éditions Flammarion) est étayé par la correspondance entre Albert et sa femme, Mileva. Les descriptions des traitements médicaux sur son fils d’Eduard sont terribles. Sans tomber dans un pathos inutile, Laurent Seksik nous entraîne dans ce monde inhumain des soins psychiatriques d’alors.