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À Propos

Jean-Noël Robert est latiniste et historien de Rome. Auteur de nombreux livres sur l’antiquité romaine, dont PompéiDe Rome à la Chine et Les plaisirs romains, il est aussi directeur de collections aux Belles Lettres. 

Ses Contributions

Comment la liberté est devenue indissociable de la violence et du sang lors de la lente agonie de la République romaine

Bonnes feuilles

Comment la liberté est devenue indissociable de la violence et du sang lors de la lente agonie de la République romaine

Jean-Noël Robert publie "L’Agonie d’une République" aux éditions Les Belles Lettres. De 133 avant notre ère, lorsque Tiberius Gracchus fut éliminé jusqu’à la mort d’Antoine à Alexandrie, à l’été 30, un siècle de guerres civiles et de violences ont ravagé Rome et l’Italie. Les plus grands généraux, Pompée, César, Antoine… sont parvenus à faire chuter un régime politique que plusieurs siècles avaient réussi à édifier. Extrait 2/2.

La sobriété tragique de Cicéron sur la mort de la République romaine

Bonnes feuilles

La sobriété tragique de Cicéron sur la mort de la République romaine

Jean-Noël Robert publie "L’Agonie d’une République" aux éditions Les Belles Lettres. De 133 avant notre ère, lorsque Tiberius Gracchus fut éliminé jusqu’à la mort d’Antoine à Alexandrie, à l’été 30, un siècle de guerres civiles et de violences ont ravagé Rome et l’Italie. Les plus grands généraux, Pompée, César, Antoine… sont parvenus à faire chuter un régime politique que plusieurs siècles avaient réussi à édifier. Extrait 1/2.

Comment l'Education nationale massacre l’orientation des élèves au nom d'un égalitarisme forcéné... et en sacrifiant les enfants des classes moyennes

Bonnes feuilles

Comment l'Education nationale massacre l’orientation des élèves au nom d'un égalitarisme forcéné... et en sacrifiant les enfants des classes moyennes

La démagogie et l’hypocrisie sont les deux mamelles de la déséducation nationale. C’est peu de dire que l’école se porte mal. Elle constitue la principale caisse de résonance d’un malaise qui la dépasse et qui gangrène la société. Elle souffre surtout d’une entreprise de destruction massive orchestrée par une administration ministérielle aux mains d’idéologues pédagogistes qui ne sont pas seulement de naïfs Trissotins. Extrait du livre "Témoin de la déséducation nationale" de Jean-Noël Robert aux éditions Les Belles Lettres (2/2).

Et arriva 1968 et la fin de l'école vue comme un héritage : la "déséducation" nationale pouvait commencer

Bonnes feuilles

Et arriva 1968 et la fin de l'école vue comme un héritage : la "déséducation" nationale pouvait commencer

La démagogie et l’hypocrisie sont les deux mamelles de la déséducation nationale. C’est peu de dire que l’école se porte mal. Elle constitue la principale caisse de résonance d’un malaise qui la dépasse et qui gangrène la société. Elle souffre surtout d’une entreprise de destruction massive orchestrée par une administration ministérielle aux mains d’idéologues pédagogistes qui ne sont pas seulement de naïfs Trissotins. Extrait du livre "Témoin de la déséducation nationale" de Jean-Noël Robert aux éditions Les Belles Lettres (1/2).

80% de notre vocabulaire vient du latin.

Réforme des programmes

"En voulant supprimer le latin, on cherche à faire de nous des penseurs dociles, peut-être parce qu’on gouverne mieux des imbéciles."

Après la publication du décret de la réforme du collège et alors que la circulaire d’adaptation est encore en débat, des spécialistes reviennent sur ce que peuvent apporter l’étude du grec, du latin, du Moyen-Âge et des Lumières. Entretien avec Jean-Noël Robert, latiniste et historien de Rome.

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