Gérard<!-- --> <!-- -->Thoris - Marc Touati - Eric Verhaeghe <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts

À Propos

Gérard Thoris est maître de conférence à Sciences Po. il a notamment rédigé une Analyse économique des systèmes (Paris, Armand Colin, 1997), contribue au Rapport Antheios et publie régulièrement des articles en matière de politique économique et sociale (SociétalRevue française des finances publiques…).

Marc Touati est économiste et président fondateur du cabinet ACDEFI (aux commandes de l'économie et de la finance). Il s'agit du premier cabinet de conseil économique et financier indépendant au service des entreprises et des professionnels.  Il a lancé en avril 2013 la pétition en ligne Sauvez La France.com pour diminuer "les impôts", les "dépenses publiques superflues" et "retrouver le chemin de la croissance" afin de "sortir par le haut de cette crise". Il est également l'auteur de Quand la zone euro explosera, paru en mars 2012 aux Editions du Moment. Son dernier livre est Le dictionnaire terrifiant de la dette (Editions du moment, mars 2013).

Éric Verhaeghe est l'ancien Président de l'APEC (l'Association pour l'emploi des cadres) et auteur de Faut-il quitter la France ? (Jacob-Duvernet, avril 2012). Son site : www.eric-verhaeghe.fr Diplômé de l'ENA (promotion Copernic) et titulaire d'une maîtrise de philosophie et d'un DEA d'histoire à l'université Paris-I, il est né à Liège en 1968.

Ses Contributions

Le gouvernement présente ce mercredi son programme pluriannuel de finances publiques.

Quand c'est flou, il y a un loup

Et hop, le record socialiste... 56,9% de PIB de dépenses publiques et 46,3% de prélèvements obligatoires en France : mais au fait quels secrets dissimulent donc ces 10 points de décalage ?

Le gouvernement présente ce mercredi son programme pluriannuel de finances publiques. Alors que les impôts et cotisations sociales atteignent déjà le record de 46% du PIB, les dépenses publiques flirtent avec les 57%. Un décalage que le seul déficit public, qui s'établit un peu en dessous de 5%, ne suffit pas à expliquer...

Contributeurs les + lus